Le Saguenay – Lac-St-Jean et la coopération internationale en Afrique : Acteurs, enjeux et défis

Invitée spéciale : Marie Fall, Professeure-Chercheure

UQTR / Campus de Trois-Rivières –

 

Dans le cadre de ses Séminaires de recherche, le Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement (LARIDEPED) de l’UQTR vous convie à la conférence qui sera donnée par Mme Marie Fall, Professeure-Chercheure à l’Université du Québec à Chicoutimi.

 

Thème : Le Saguenay – Lac-St-Jean et la coopération internationale en Afrique : acteurs, enjeux et défis

Date: 24 avril 2017

Heure : 12h à 13h30

Lieu: local 3095 du pavillon Ringuet 

 

La région du Saguenay-Lac-Saint-Jean se distingue par l’existence de plusieurs organisations (institutions, entreprises et organismes) intervenant en Afrique. Ces organisations sont aujourd’hui à un tournant majeur de leur existence. Beaucoup d’entre elles sont fortement affectées par les changements dans le secteur de la coopération internationale imposés par les contextes socioéconomiques et les conjonctures gouvernementales. C’est pourquoi il est primordial de documenter les incidences de ces transformations au plan régional. Un important préalable à l’étude de ces changements est d’abord de disposer d’un portrait détaillé et à jour de la relation de ces organisations avec l’Afrique et de démontrer son importance socioéconomique, institutionnelle et politique pour la région. Une des pistes à explorer par les organisations dans ce contexte de crise est de poser les jalons d’une collaboration soutenue entre elles à travers une mise en commun des programmes, des actions et des ressources. En s’inscrivant dans le contexte actuel de crise de la coopération internationale canadienne et québécoise, nous présenterons les résultats préliminaires  du projet de recherche qui visait à : identifier les différents acteurs et intervenants régionaux de la coopération internationale en Afrique ; réaliser un répertoire de toutes les organisations de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean présentes en Afrique notamment le secteur d’intervention, les activités, les cibles, les partenaires et les sources de financement ; et, contribuer à fédérer ces organismes dans le cadre d’un réseau ou d’un cadre de concertation et de coordination, de mutualisation des programmes des actions et des ressources.

 

Notice biographique : Professeure en géographie et coopération internationale à l’Université du Québec à Chicoutimi, Pr Fall est responsable du Laboratoire d’études et de recherches appliquées sur l’Afrique (LERAA).

La vice-rectrice de l’Université d’économie de Danang à l’UQTR

La vice-rectrice de l’Université d’économie de Danang au Vietnam, Madame VO Thi-Thuy Anh, était à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) les 10 et 11 avril derniers, où elle a entre autres participé à une rencontre de travail avec l’École de gestion. Les discussions ont permis d’identifier plusieurs avenues de collaboration prometteuses entre les deux universités, notamment au niveau de participation à des conférences internationales, de mise en œuvre de programmes et de partenariats de recherche.  

François Labelle, professeur au Département de management et directeur de l’Institut de recherche sur les PME, Thang Le Dinh, professeur au Département de marketing et systèmes d’information, VO Thi-Thuy Anh, vice-rectrice de l’Université d’économie de Danang, Saïd Zouiten, professeur au Département de marketing et systèmes d’information et directeur de l’École de gestion, Marc Duhamel, professeur au Département de finance et économique, Stéphanie Austin, professeure au Département de gestion des ressources humaines et Éliane Moreau, professeure au Département de marketing et systèmes d’information et directrice de comité de programme de premier cycle.

Source: https://blogue.uqtr.ca/2017/04/13/la-vice-rectrice-de-luniversite-deconomie-de-danang-a-luqtr/

De la régionalisation de l’immigration à la rétention en région : Les facteurs qui bloquent

UQTR / Campus de Trois-Rivières –

Dans le cadre de ses Séminaires de recherche, le Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement (LARIDEPED) de l’UQTR vous convie à la conférence qui sera donnée par M. Abdoul Echraf, chercheur à l’Observatoire démographique et statistique de l’espace francophone de l’Université Laval.

Invité spécial : Abdoul Echraf Ouedraogo, Docteur en Développement régional

Thème : De la régionalisation de l’immigration à la rétention en région : les facteurs qui bloquent

Date: 30 mars 2017

Heure : 12h à 13h30

Lieu: local 3095 du pavillon Ringuet 

 

La conférence porte sur les récents débats en immigration au Québec ainsi que les obstacles à l’intégration et à la rétention des immigrants en région. Malgré les déclarations politiques en matière de régionalisation, le pourcentage d’immigrants établis dans les régions non métropolitaines reste encore très faibles. L’attractivité des collectivités d’accueil, ainsi que les possibilités d’intégration en emploi ne cessent de se poser comme facteurs répulsifs alors même que le Québec fait face à un problème de déficit de main-d’œuvre. Cette conférence passe en revue les obstacles qui affectent les politiques d’intégration et de régionalisation de l’immigration à partir du cas concret d’une cohorte de jeunes immigrés installés en région et dont le parcours a été suivi pendant plusieurs années.

Notice biographique : Démographe de formation, Abdoul Echraf Ouedraogo s’est intéressé dans ses études doctorales à l’insertion des jeunes issus des minorités dans les régions non métropolitaines et la régionalisation de l’immigration. Il agit comme consultant pour des organismes tels que l’UNICEF, l’OMVS, l’OXFAM et l’OIF sur les questions démographiques et de politiques jeunesses dans les pays francophones. Il est l’auteur de nombreuses études sur le sujet dont le Portrait des jeunes dans l’espace francophone 2015 qui a servi de base à l’adoption de la Stratégie francophone de la jeunesse 2015-2022 adoptée au sommet de Dakar en 2014. Monsieur Ouedraogo a également travaillé pendant plusieurs années comme démographe à la Ville de Québec, notamment au Commissariat aux relations internationales et à l’immigration où il s’occupait principalement des programmes d’accueil et d’insertion des nouveaux arrivants à Québec.

Impact du microcrédit sur le développement territorial

UQTR / Campus de Trois-Rivières –

Dans le cadre de ses Séminaires mensuels, le Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement (LARIDEPED) de l’UQTR vous convie à la conférence qui sera donnée par Mme Suzanne Tremblay, professeure en développement régional et en sociologie à l’Université du Québec à Chicoutimi

Thème : Impact du microcrédit sur le développement territorial

Date: 16 mars 2017

Heure : 12h à 13h30

Lieu: local 1085 du pavillon Ringuet

 

Le microcrédit est un phénomène mondial qui s’est développé dans les quarante dernières années autant dans les pays du Sud que dans les pays du Nord.  Au Québec, le modèle le plus courant de la microfinance est celui de la finance solidaire basée sur de petites organisations dédiées au crédit communautaire.  Ces organismes de crédit communautaire font l’accompagnement et le suivi des micro-entrepreneurs et offrent des prêts d’honneur aux usagers qui ont recours à leurs services.

Cette communication présentera les résultats d’une recherche portant sur l’expérience spécifique du crédit communautaire dans la région du Saguenay-Lac-Jean en relatant le cas des deux organismes de crédit communautaire implantés sur le territoire saguenéen, soit le Fonds d’Entraide communautaire (FEC) et les Cercles d’emprunt communautaire (CEC) (fusionnés depuis la fin de 2016).  La communication portera plus précisément sur les retombées socio-économiques des projets de microentreprises accompagnés par le FEC et par les CEC dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, sur les pratiques d’accompagnement des micro-entrepreneurs et sur le parcours des micro-entrepreneurs vers l’entrepreneuriat. Le phénomène du crédit communautaire au Saguenay-Lac-Saint-Jean y sera analysé dans la perspective du développement économique communautaire, de la lutte contre la pauvreté, du développement territorial et du développement social.

Suzanne Tremblay est professeure en développement régional et en sociologie à de l’Université du Québec à Chicoutimi. Ses préoccupations de recherche portent sur le développement social et communautaire, le développement économique communautaire et l’économie sociale, les mouvements sociaux, le développement territorial, les théories du développement et de la décroissance, l’écologie urbaine et sociale, la revitalisation sociale et intégrée.

L’expertise de l’UQTR sollicitée par la Silicon Valley

Thang Le Dinh, professeur au Département de marketing et systèmes d’information et codirecteur du Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement (LARIDEPED) de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) est de retour d’un inspirant séjour d’un mois au siège social d’Adobe à San Jose en Californie. C’est que la géante américaine, notamment reconnue pour ses logiciels graphiques et services de marketing numérique, a sollicité l’expertise de l’UQTR afin de l’appuyer dans le développement d’un service intelligent pour le service à la clientèle, basé sur la technologie cognitive agent.

Cette technologie, déjà testée depuis quelques années par les Google, Apple, Amazon et Microsoft de ce monde, permet aux utilisateurs de poser une question à voix haute à leur appareil intelligent afin d’obtenir une réponse sur pratiquement n’importe quel sujet. Le défi ? Offrir à l’utilisateur la réponse la plus courte et la plus pertinente possible.

C’est à cette tâche précise que le professeur Le Dinh a consacré la majeure partie de son temps lors de son séjour chez Adobe : «Pour chaque question de l’utilisateur, il existe des millions de réponses possibles, mais pour que l’outil demeure efficace, il faut que les réponses soient le plus concises et pertinentes possible. Cela requiert tout un travail de classification des connaissances et des concepts génériques, ainsi que de gestion des connaissances spécifiques du client. À l’avenir, on assistera littéralement à un dialogue entre l’homme et la machine, on va poser des questions et le système va pouvoir relancer l’utilisateur afin de préciser sa question initiale», raconte le professeur Le Dinh.

Cette collaboration Adobe/UQTR, financée à hauteur de 7 500$ US pour trois mois, pourrait être la première d’une série de plusieurs. Déjà, la compagnie envisage de renouveler cet octroi pour un autre trimestre et à terme, cette collaboration pourrait même permettre à certains étudiants de l’université trifluvienne de faire un stage chez Adobe Research. «C’est l’endroit idéal pour permettre à nos étudiants de vivre une expérience des plus inspirantes. Ici, on sent une énergie très spéciale et les jeunes employés ont des idées incroyables chaque jour et ne souhaitent rien de moins que de changer le monde», conclut le professeur Le Dinh.

Source: Entête Nouvelles à l’UQTR

https://blogue.uqtr.ca/2016/11/01/lexpertise-de-luqtr-sollicitee-par-la-silicon-valley/

Le président de l’Université de Da Nang au Vietnam en visite à l’UQTR

L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a eu l’honneur, le 25 août dernier, de recevoir le président de l’Université de Da Nang (UD) au Vietnam, M. Tran Van Nam. Sa présence a entre autres permis de parapher une lettre d’intention confirmant la volonté des deux universités à explorer des possibilités de coopération dans les domaines des sciences de la gestion, du génie et de la biochimie.

Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’international et du recrutement, Daniel McMahon, recteur de l’UQTR, Tran Van Nam, président de l’Université de Da Nang et Thang Le Dinh, professeur au Département de marketing et systèmes d’informations et codirecteur du Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement de l’UQTR.

Bien que les discussions en soient à leur tout début, des retombées concrètes sont à prévoir pour les prochaines semaines. Thang Le Dinh, professeur au Département de marketing et systèmes d’informations et codirecteur du Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement de l’UQTR nous explique: «Nous aurons la chance d’accueillir dès cet automne un enseignant-chercheur de l’UD, boursier du programme de bourses du gouvernement vietnamien, qui vient de s’inscrire dans le programme de DBA en marketing numérique. On croit qu’il s’agit du début d’une belle collaboration entre nos deux universités.»

La prochaine étape pour les différents unités et départements visés par cette lettre d’intention sera de définir les types de collaboration souhaitées avec l’UD. Pour faire suite à cet exercice, les deux universités envisageront de signer un accord de collaboration.

Les deux universités envisagent également organiser un congrès et une École internationale d’été en gestion et en technologies à Da Nang, dès l’été prochain. Si le tout se concrétise, ce sera l’opportunité idéale pour les étudiants et professeurs de l’UQTR de visiter l’UD et de commencer à tisser des liens.

Quelques faits et chiffres sur l’Université de Da Nang

  • Un des trois pôles universitaires les plus importants du Vietnam, avec ceux de Hanoi et Ho Chi Minh Ville
  • 65 000 étudiants
  • Membre de l’AUF – Un grand nombre de francophones et francophiles
  • Principaux domaines: génie, gestion, éducation, langues étrangères, et médecine

Source: https://blogue.uqtr.ca/2016/09/12/le-president-de-luniversite-de-da-nang-au-vietnam-en-visite-a-luqtr/

Un étudiant de l’UQTR poursuit son MBA au Vietnam

Philippe Vallières est devenu aujourd’hui le premier étudiant de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) à se rendre à Hanoï pour y vivre session intensive dans le cadre de la délocalisation du MBA de l’UQTR au Vietnam. Du 4 au 18 juillet prochain, il suivra donc une quarantaine d’heures de cours au MBA en gestion de projet en compagnie de ses nouveaux collègues de classe vietnamiens et de cadres internationaux venus compléter leurs études à l’Université de commerce du Vietnam.

Théophile Serge Nomo, professeur au Département de finance et économique et directeur du MBA, Philippe Vallières, étudiant de l’UQTR au MBA et Saïd Zouiten, professeur et directeur de l’École de gestion.

Si l’expérience est aujourd’hui bien concrète, l’idée de partir en Asie pour quelques semaines lui semblait presque irréaliste il y a à peine quelques mois: «Lorsque j’ai commencé à préparer le projet, je pensais que c’était utopique, je me demandais si ça allait vraiment se réaliser» nous confie M. Vallières avec la fébrilité qui accompagne les grands départs. «Ce sera une occasion unique d’en apprendre davantage sur la culture des affaires en Asie, de développer une vision plus globale et de revenir avec une nouvelle façon d’appréhender mon travail», enchaîne-t-il.

Si ce type d’expérience se veut un avantage indéniable pour les étudiants, il correspond aussi parfaitement à ce qui est recherché par l’UQTR lors de partenariats internationaux: «La délocalisation d’un MBA est toujours un accomplissement en soi, mais lorsqu’on réussit à y intégrer des échanges internationaux d’étudiants, ces partenariats deviennent beaucoup plus intéressants pour les deux universités. Les étudiants qui diplôment avec une expérience internationale sont beaucoup plus aptes à devenir des leaders sur le marché du travail et cela rend notre MBA beaucoup plus attractif», nous explique Théophile Serge Nomo, professeur au Département de finance et économique et directeur du MBA.

Pour M. Vallières, également commissaire industriel chez Innovation et Développement économique (IDE) Trois-Rivières, son séjour en Asie sera, sans vouloir faire de jeu de mots facile en lien avec le monde des affaires, un investissement doublement payant: «Je vais également profiter de ce voyage d’études pour faire de la prospection internationale pour IDE. Je vais me faire des contacts d’affaires en Asie et chercher des entreprises potentielles qui pourraient s’implanter à Trois-Rivières», explique-t-il.

Finalement, ce séjour international sera enrichi par la présence de Thang Le Dinh, professeur au Département de marketing et systèmes d’information de l’UQTR, qui enseigne présentement à l’UVC et qui accompagnera M. Vallières dans la visite d’entreprises, d’ambassades, de consulats et d’industriels du Vietnam. Une vingtaine de jours, donc, qui auront le pouvoir de transformer une vie.

Suivez l’aventure de Philippe Vallières sur www.presdumonde.com

Source: https://blogue.uqtr.ca/2016/07/07/un-etudiant-de-luqtr-poursuit-son-mba-au-vietnam/

L’UQTR accueille cinq boursiers de haut niveau

L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) accueille, pour une 4e année consécutive, cinq boursiers de haut niveau dans le cadre du Programme canadien de bourses de la Francophonie (PCBF). Traditionnellement, les participants du PCBF à l’UQTR effectuaient un stage de gouvernance alors que la cohorte de cette année travaillera à l’élaboration d’un projet de recherche à la maîtrise ou au doctorat.

1re rangée: Sika Joelle Prisca Boua, maîtrise en administration des affaires, Sengthavy Phommixay, doctorat en génie électrique. 2e rangée: Koffi Marcel Konan, stage postdoctoral en chimie, Christian Mayemba Ndofusu, maîtrise en biologie cellulaire et moléculaire, Manh Chiến Vu, stage postdoctoral en sciences de la gestion. 3e rangée: Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’internationale et du recrutement (BIR), Patrick Razakamananifidiny (BIR), conseiller en développement international au BIR ainsi que Pape Jean Fall, conseiller en développement international au BIR.

Ces boursiers, en provenance de la Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo et du Laos, seront jumelés à un professeur de l’UQTR pendant une période de 12 mois et travailleront sur des sujets aussi variés que la gestion, l’agroéconomique, la cancérologie, la chimie et le génie électrique. Fait intéressant, un des boursiers de cette année a découvert l’UQTR alors qu’il y effectuait une visite à titre de partenaire dans le cadre de la délocalisation du MBA au Vietnam.

L’expertise de l’UQTR en gestion des PME mise au service du Cameroun

Le Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement (LARIDEPED) de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) décroche une commandite de recherche d’un montant de plus de 600 000 dollars pour le diagnostic et la restructuration de 180 PME au Cameroun. Le projet, dont la direction scientifique sera assurée par Théophile Serge Nomo, professeur au Département de finance et économique de l’École de gestion de l’UQTR, s’échelonnera sur une période de douze mois, avec une possibilité de renouvellement pour deux années supplémentaires.

Sur la photo, on aperçoit M. François Quenneville-Dumont, conseiller politique du Haut Commissariat du Canada au Cameroun (au centre, en gris), M. Laurent Serge Etoundi Ngoa, ministre des PME et de l’Économie sociale et de l’Artisanat du Cameroun, en présence de plusieurs dirigeants de PME du pays, Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement de l’UQTR, Sylvain Benoit, directeur du Bureau de l’international et du recrutement de l’UQTR ainsi que Théophile Serge Nomo, cofondateur et codirecteur du LARIDEPED et professeur à l’UQTR.

La mise en place de cette opération d’envergure sera effectuée au sein du LARIDEPED de l’UQTR, sous la supervision du professeur Nomo, cofondateur et codirecteur de ce laboratoire. Ce dernier, qui a travaillé pendant plus d’une année à l’élaboration de ce projet de recherche et d’intervention, veillera avec son équipe de professeurs, à accompagner et à restructurer de manière spécifique les PME camerounaises afin d’accroître leur performance. Un autre volet du projet prévoit aussi la formation d’employés de l’Agence de promotion des PME du Cameroun afin qu’ils puissent mieux conseiller les entrepreneurs.

«C’est toujours une grande fierté pour l’UQTR de constater que son expertise est reconnue à travers le monde et qu’elle peut faire la différence dans la vie des gens. Les connaissances et compétences transmises au cours du projet serviront les PME et l’économie du pays pour les décennies à venir» se réjouit Robert W. Mantha, vice-recteur à la recherche et au développement de l’UQTR.

L’UQTR est partenaire avec le ministère des PME, de l’Économie sociale et de l’Artisanat du Cameroun depuis 2010, alors qu’elle avait réalisé à l’époque un premier projet qui s’est soldé en 2015 par le diagnostic de 118 PME.

Rappelons que l’UQTR a conclu à ce jour plus de 170 ententes internationales avec 143 partenaires réparties dans 45 pays. Elle accueille également chaque année tout près de 1600 étudiants internationaux en provenance de 67 pays.

Source: https://blogue.uqtr.ca/2016/04/28/lexpertise-de-luqtr-en-gestion-des-pme-mise-au-service-du-cameroun/

LES SERVICES DU LIVING-LAB DANS L’AMÉLIORATION CONTINUE DE LA PERFORMANCE AU SEIN DES PME

Mardi 29 mars 2016 de 12h à 13h
Salle 1002 Ringuet – Université du Québec à Trois-Rivières,
3351 Boul. des Forges, Trois-Rivières, Québec

Conférenciers

  • Dr. Thang Le Dinh est professeur en systèmes d’information à l’école de gestion de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et co-directeur du Laboratoire de recherche et d’intervention sur le développement de l’entreprise dans les pays en développement (LARIDEPED)
  • Dr. Manh-Chien Vu est professeur en finance de l’université de commerce du Vietnam à Hanoi et chercheur postdoctoral du LARIDEPED
  • Dr. Thuong Cang Phan est chercheur senior en technologies de l’information de l’université de Cantho – Vietnam et chercheur postdoctoral du LARIDEPED
  • Dr. Serge Nomo Théophile est professeur en finance à l’école de gestion de l’UQTR et co-directeur du LARIDEPED

Résumé 

La convergence de la mondialisation et la numérisation a profondément transformé l’environnement des affaires. Les technologies de l’information et de communication (TIC) jouent un rôle primordial dans la gestion des entreprises. De nos jours, ces technologies sont devenues un facteur d’innovation et de transformation des organisations. Par conséquent, les entreprises ont besoin d’un écosystème de l’innovation ouverte et centrée sur l’utilisateur pour promouvoir le processus de co-création de la valeur afin de faire mieux que leurs compétiteurs.

Il y a eu de nombreuses études qui évaluent la performance des petites et moyennes entreprises (PME) dans les pays en voie de développement ainsi que dans les pays développés. Cependant, ces nouvelles études concentrent plutôt à trouver les facteurs influant la performance des PME que l’accompagnement à la gestion des PME dans toutes les étapes du diagnostic à l’amélioration de la performance afin d’optimiser l’efficacité opérationnelle des PME. Certaines études récentes qui a été analysées les possibilités d’application des technologies de l’informatique en nuage (cloud computing) ou l’externalisation (outsourcing) qui permet de créer un écosystème de partenariats public-privé-citoyen afin de faciliter le processus de co-création avec les utilisateurs finaux dans les conditions réelles.

Notre projet présente une approche basée sur la science des services pour la conception d’un Living Lab qui vise à améliorer de façon continue de la performance des entreprises en général et des PME en particulier. Le but de ce Living Lab est d’intégrer la co-création, l’expérimentation d’idées novatrices et l’amélioration des performances des cas réels des entreprises.

Mots clés: Living Lab, PME, performance, amélioration continue, gestion des PME